Portrait of Louis de Coëhorn (1771 - 1813)

Louis de Coëhorn

Louis Jacques
1er baron de Coëhorn (1808 - )
Family Coat of Arms de Cohorn alias Coëhorn
  • Born on January 16, 1771 in Strasbourg
  • Deceased on October 29, 1813 in Leipzig, at the age of 42 years

Parents

Family

Occupations

Distinctions

  • commandeur de l'ordre de la Légion d'honneur

Notes

Louis-Jacques de Coehorn Louis-Jacques (1771-1813) était un baron de l’Empire (27 novembre 1808), général de brigade (21 mars 1807), dit « Alsace Bayard » (Bayard alsacien). Né le 16 janvier 1771 à Strasbourg (StrasbourgBas- Rhindans la famille du capitaine du Régiment de Condé-dragons, le baron Jean Jacob de Coehorn (1734-1785) et de son épouse Madeleine-Dorothea de Lang (MadeleineDorothe de Lang), en 1783, à l’âge de 12 ans, entre au service militaire comme enseigne (insigne) du régiment d’infanterie d’Alsace (régiment d’Alsace-infanterie) Le 2 septembre 1784, il est promu sous-lieutenant et le 28 décembre de la même année, il est confirmé dans son grade, le 22 septembre 1788, il est sous-lieutenant (lieutenant en second), sert en Guyane (GuyaneAmérique du Sud), le 1er avril 1791 – premier lieutenant (lieutenant en en premier) du 53e régiment d’infanterie de ligne, ancien alsacien, le 9 juin 1792 capitaine, capitaine du 3 Thermidors de la première année (21 juillet 1793) pour cause de maladie. Armée des Côtes de Brest) et six mois plus tard rétabli par le général Lazare Hoche (1768-1797) au grade de capitaine, 2 prairials de la deuxième année (21 mai 1794) - assistant (adjointadjudan-général (adjudant-général) Charles-Mathieu-Isidore Decaen (1769-1852), 10e Nivoz III (30 décembre 1794) transféré à l’armée du Rhin-Moselle (Armee de Rhin-et-Moselle), participe à la prise de Mayence (Mayence), Pfedersheim ( Pfedersheim) et Lampsheim, combattirent le 23 Brumaire IV (14 novembre 1795) à Frankental), 10 Messidor iv (28 juin 1796) à Renchen, 17 Messidor IV (5 juillet 1796) à Rastadt et 21 Messidors IV (9 juillet 1796) à Ettlingen, 17 Thermidor IV (4 août 1796) – aide de camp du général de brigade Dean, combattit 24 Thermidors IV (11 août 1796) à Neresheim et 15 Frücktidor IV (1er septembre 1796) à Geisenfeld, après la capture de Keiserslautern en septembre 1796, tentèrent d’arrêter le pillage et reçurent 11 blessures dans une bataille contre les pillards. 5 Messidors V - 23 juin 1797 – chef de bataillon, en 1798 sert dans l’armée d’Angleterre du général Jean-François Moulin (1752-1810), participe à la répression des émeutes dans le département d’Ille-et-Vilaine, au début de 1799 transféré à l’armée du Danube (Armee du) Danube), combattit le 4e Germinal de la septième année (24 mars 1799) à Ostrach et le 5e Germinal de la septième année (25 mars 1799) à Stoaveckach, où il fut grièvement blessé d’une balle dans la cheville de la jambe gauche, 3 Fructidor de la VII année (20 août 1799) - Chef de brigade. En avril 1800, il fut affecté à la division du général Delmas (AntoineGuillaume Maurailhac d,Elmas de La Costedit Delmas) (1767-1813) de l’Armée du Rhin (Armee du Rhin), 9 Floreal VIII (29 avril 1800) se distingua à la traversée de l’Alb, combattit le 11 floreal VIII - 15 Floreal VIII (5 mai 1800) à Moeskirch et 8 Messidor VIII (27 juin 1800) à Neubourg, où quatre compagnies de la 14e semi-brigade légère (14 e demi-brigade d,infanterie legere) étaient à la tête de quatre compagnies de la 14e semi-brigade légère (14e demi-brigade d,infanterie legere ) avec une attaque à la baïonnette sur le flanc renversa la colonne ennemie poussant la division du général Montrichard (Joseph-Helie-Désir Perruquet de Montrichard) (1760-1828) et fit jusqu’à 200 prisonniers, 1 Thermidor de la VIIIe année (20 juillet 1800) fut confirmé au grade de chef de brigade. 2 Vendémière X année (24 septembre 1801) affecté au 26e district militaire, 11 Fructidor XIet (29 août 1803) transféré au camp de Bruges, 21 nivoz XIII (11 janvier 1805) - Chef d’état-major de la 1re division d’infanterie du général Moran (Charles-Antoine-Louis-Alexis Morand) (1771-1835) du IIIe corps du maréchal Davout (Louis-NicolasDavout) (1770-1823), dans les rangs de la Grande Armée, participa à la campagne d’Autriche de 1805, aux campagnes de Prusse et de Pologne de 1806-1807, combattit 11 Freemer de la XIVe année (2 décembre 1805) à Austerlitz (Austerlitz) et le 14 octobre 1806 à Auerstaedt (Auerstaedt) ), où il fut de nouveau blessé, le 13 décembre 1806, il reçut une grave blessure par balle à la tête alors qu’il traversait la rivière Narew, combattit à Eylau les 7 et 8 février 1807, fut promu général de brigade le 21 mars 1807 et, le 22 avril 1807, dirigea la 3e brigade de la division grenadier du général Nicolas-Charles Oudinot (1767-1847) du corps de réserve du maréchal Jean. Lannes) (1769-1809), combat le 15 mai 1807 à Veichselmunde à Dantzig, le 10 juin 1807 à Heilsberg et le 14 juin 1807 à Friedland, où il est blessé d’une balle dans la cuisse. Pendant la campagne d’Autriche de 1809, il commande la 1re brigade (Bataillon des Tirailleurs CorsesBataillon des Tirailleurs du Po, 4e Bataillons des 17e, 21e, 26e et 28e régiments d’infanterie légère) de la 1re Division. Le général Michel-Marie Claparede (1770-1842), combattit le 19 avril à Pfaffenhofen, le 21 avril à Landshut et le 27 avril à Passau, et le 3 mai 1809 à la bataille d’Ebersberg, où il conduisit sa brigade et quatre canons du 7e régiment d’artillerie à pied (7e) Régiment d’artillerie-à-pied) a été séparé de l’armée principale par un pont en feu sur le Traun et a résisté à trois heures d’attaque par 40 000 Autrichiens, combattu à Essling les 21 et 22 mai 1809, blessé à nouveau à la bataille de Wagram le 6 juillet 1809. ). Le 15 mai 1810, il reçoit un congé pour améliorer sa santé, le 10 juin 1811 il retourne au service actif, le 9 juillet 1811 il est envoyé dans la péninsule ibérique au sein de la 3e division de l’armée espagnole (Armée d’Espagne), mais le 30 septembre il rentre à Paris pour des raisons de santé. - 20 mars 1813 – Commandant de la 1re brigade, 22e division d’infanterie du général Friedrichs (Jean-Parfait Friedrichs) (1773-1813) du VIe corps d’armée du maréchal Marmont (Auguste-Frédéric-Louis Viesse de Marmont(1774-1852) en Saxe, combattit le 2 mai 1813 à Lutzen et Les 20 et 21 mai à Bautzen, le 19 octobre 1813, à la bataille de Leipzig, il est grièvement blessé par un boulet de canon qui lui écrase la cuisse gauche, capturé et emmené à Strasbourg, le 20 octobre 1813, sa jambe doit être amputée et le 29 octobre, le général meurt de ses blessures à l’âge de 42 ans. Chevalier de la Légion d’honneur (5 février 1804), officier de la Légion d’honneur (14 juin 1804), commandeur de la Légion d’honneur (30 avril 1809), chevalier de l’ordre militaire bavarois de Maximilien Joseph (Militar-Max-Joseph-Orden) (10 juin 1809), commandeur de l’ordre de Maximilien Joseph (15 novembre 1810). À partir du 19 novembre VII (8 janvier 1799), il épousa Marie-Marguerite-Sophie de Beyer (1777-1841), avec qui il eut six enfants : Adèle-Sophie de Coehorn (1800-1870), Louis-Eugène de Coehorn (1801-1881), Melanie-Louise de Coehorn (1802-1880), Edmond-Gustave (Edmond- Gustave de Coehorn) (1803-1885), Mathilde-Louise de Coehorn (1810-1860) et Sophie-Louise-Louise- Adèle-Eugénie de Co ehorn) (1813-1853). Le nom du général est gravé sur l’Arc de Triomphe de l’Etoile.