Il était porte-manteau ordinaire et valet de chambre de la reine mère et de François, duc d'Alençon. Il embrassa le parti des Royaux et fut tué à Saint-Denis d'Anjou par Louis de Plan, dit le capitaine de Plan, ancien page de Henri III, attaché au service de la Ligue et gouverneur de Sablé pour le parti de l'Union, au nom d'Urbaiun de Laval, seigneur de Bois-Dauphin. Il est fait mention de ce meurtre dans le 9e article de l'édit du Roi Henri IV, donné au sujet de l'amnistie du maréchal de Bois-Dauphin.