Le contrat de mariage prévoyait une pension annuelle de 300F, lors de la séparation, il y eu procès afin de savoir si la pension continuerait d'être versée par le mari à sa femme. Elle perdit tout d'abord ses droits en 1842 puis fit appel et gagna en 1844 car "la séparation de corps n'annule pas les liens du mariage mais les relâche seulement".
Source: Journal de l'enregistrement et du notariat, volume 11, p.248