Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)
Choiseul-Stainville (Claude-Antoine-Gabriel de Choiseul-Stainville) Claude-Antoine-Gabriel (1760-1838) - Duc de Choiseul-Stainville (Duc de Choiseul-Stainville), lieutenant général et homme d'État. Né le 26 août 1760 à Lunéville (Luneville) dans la famille du comte Claude-Antoine de Choiseul (Claude-Antoine de Choiseul, comte de Choiseul-La Baume) (1733-1794) et de son épouse la marquise Diane-Gabrielle de La Baume de Montrevel ( Diane-Gabrielle de La Baume, marquise de Montrevel) (1729-1792), élevée sous la garde de son parent sans enfant du ministre royal duc Etienne-François de Choiseul (Etienne-François de Choiseul) (1719-1785) , entré dans l'armée à un jeune âge a servi dans l'armée royale et en 1791 a occupé le grade de colonel des dragons (Regiment Royal-dragons). Resté fidèle à la maison royale, Le 20 juin 1791, il participe à une tentative d'évasion de Louis XVI de Paris (Paris), et après l'échec de l'évasion, il est arrêté à Verdun (Verdun) et emprisonné. En mai 1792, il reçut sa liberté et resta avec la reine Marie-Antoinette (Marie-Antoinette d, Autriche) jusqu'à son emprisonnement à la prison du Temple, en octobre 1792, il émigra de France et une récompense fut placée sur sa tête. Il combattit contre la République au sein de l'armée émigrée du prince de Condé (Louis-Joseph de Bourbon, prince de Condé). En 1795, il fait naufrage au large des côtes françaises, est arrêté à Calais (Calais) et emprisonné à Dunkerque (Dunkerque), après le coup d'état du 18 brumaire de l'an VIII (9 novembre 1799) est libéré et le janvier 1, 1800 internés de France. En 1801, il reçoit du Premier Consul de Bonaparte (Napoléon Bonaparte) l'autorisation de rentrer en France et jusqu'à la chute de l'Empire, il vit loin des événements politiques. Sous la Restauration, il est pair de France, participe au procès du maréchal Ney (Michel Ney) et vote son expulsion. Au grade de lieutenant général, il sert comme chef d'état-major de la Garde nationale, en 1820 il défend le général Merlin (Eugène-Antoine-François Merlin) accusé de complot, et avec la création en 1821 du ministère de Le comte Villèle (Joseph de Villèle) prend sa retraite. Au début de la révolution de 1830, il est nommé membre du Gouvernement provisoire avec les généraux Gérard (Maurice-Etienne Gérard) et Lafayette (Marie-Joseph-Paul-Roch-Gilbert Motier, marquis de La Fayette ), puis reçut du roi Louis-Philippe (Louis-Philippe) le poste d'adjudant royal et le poste de gouverneur du Louvre (Louvre). Il meurt le 1er décembre 1838 à Paris à l'âge de 78 ans. Auteur de "Relation du départ de Louis XVI le 20 juin 1791" (1822) et "Process des naufrages de Calais" (1823). A partir du 10 octobre 1778, il est marié à Marie-Stéphanie de Choiseul-Stainville (1763-1833), avec qui il a trois enfants : Stéphanie (Stephanie de Choiseul-Stainville) (1782-1861), Etienne (Etienne de Choiseul-Stainville ) (1786-1809) et René (René de Choiseul-Stainville) (1788-). Le portrait du général, peint en 1839 par le peintre François-Gabriel-Guillaume Lepaulle (1804-1886), est la propriété du Musée de l'Armée (Musée de l'Armée, Paris). Il meurt le 1er décembre 1838 à Paris à l'âge de 78 ans. Auteur de "Relation du départ de Louis XVI le 20 juin 1791" (1822) et "Process des naufrages de Calais" (1823). A partir du 10 octobre 1778, il est marié à Marie-Stéphanie de Choiseul-Stainville (1763-1833), avec qui il a trois enfants : Stéphanie (Stephanie de Choiseul-Stainville) (1782-1861), Etienne (Etienne de Choiseul-Stainville ) (1786-1809) et René (René de Choiseul-Stainville) (1788-). Le portrait du général, peint en 1839 par le peintre François-Gabriel-Guillaume Lepaulle (1804-1886), est la propriété du Musée de l'Armée (Musée de l'Armée, Paris). Il meurt le 1er décembre 1838 à Paris à l'âge de 78 ans. Auteur de "Relation du départ de Louis XVI le 20 juin 1791" (1822) et "Process des naufrages de Calais" (1823). A partir du 10 octobre 1778, il est marié à Marie-Stéphanie de Choiseul-Stainville (1763-1833), avec qui il a trois enfants : Stéphanie (Stephanie de Choiseul-Stainville) (1782-1861), Etienne (Etienne de Choiseul-Stainville ) (1786-1809) et René (René de Choiseul-Stainville) (1788-). Le portrait du général, peint en 1839 par le peintre François-Gabriel-Guillaume Lepaulle (1804-1886), est la propriété du Musée de l'Armée (Musée de l'Armée, Paris). A partir du 10 octobre 1778, il est marié à Marie-Stéphanie de Choiseul-Stainville (1763-1833), avec qui il a trois enfants : Stéphanie (Stephanie de Choiseul-Stainville) (1782-1861), Etienne (Etienne de Choiseul-Stainville ) (1786-1809) et René (René de Choiseul-Stainville) (1788-). Le portrait du général, peint en 1839 par le peintre François-Gabriel-Guillaume Lepaulle (1804-1886), est la propriété du Musée de l'Armée (Musée de l'Armée, Paris). A partir du 10 octobre 1778, il est marié à Marie-Stéphanie de Choiseul-Stainville (1763-1833), avec qui il a trois enfants : Stéphanie (Stephanie de Choiseul-Stainville) (1782-1861), Etienne (Etienne de Choiseul-Stainville ) (1786-1809) et René (René de Choiseul-Stainville) (1788-). Le portrait du général, peint en 1839 par le peintre François-Gabriel-Guillaume Lepaulle (1804-1886), est la propriété du Musée de l'Armée (Musée de l'Armée, Paris).