Pierre Nicolas DORION, et son fils aîné de 18 ans, ont été trainés par les Brigands de la Vendée au pied de l’arbre de la Liberté, où ils furent massacrés le 13 mars 1793 sur la commune de Rocheservière ; son épouse s’enfuit alors à Nantes avec ses autres enfants, abandonnant tout ce qu’elle avait, qui a été pillé ou brûlé.