Fut autorisé par décret, sous le second Empire, à relever le nom de Brantes qu'avait apporté avec substitution aux Cessac, l'aïeule de sa femme Louise-Augustine-Sibille de de Brantes, fille unique marquis de Brantes au comté Venaissin et femme de Jean-Gérard Lacuée, comte de Cessac, général de division et ministre d'Etat sous le premier Empire.