D'azur à trois sauvages d'or soutenus d'une terrasse de sinople ; au chef d'argent chargé d'une colombe de sable s'essorant, posée en bande, tenant dans son bec une branche d'olivier au naturel, et accostée de deux étoiles d'azur.
Sources : BB/29/979, BB/29/1078.
Anobli en 1825 avec ce règlement d'armoiries.
Defermon
Bretagne, Paris
D'hermine au pommier de sable à deux rameaux, celui de dextre feuillé et fruité d’or, celui de senestre d’argent.
Deux frères, dont l'un fut titré comte, l'autre baron, sous l'Empire. Variantes : au franc quartier des comtes conseillers d’Etat (règlement de 1802), ou au franc-quartier des barons préfets (règlement de 1810).
Deffand (du)
Bourgogne
D'argent à la bande de sable accompagnée en chef d'une merlette du même.
Sources : Rietstap.
Defredot Duplantys alias de Fredot
Bretagne, Guadeloupe
D'argent au chiffre 4 de gueules accosté de deux croissants du même vers le bas de l'écu.
Sources : BB/29/980, BB/29/1078.
Serait originaire d'Auvergne. Débouté en 1668. Maintenu en 1823 avec ce règlement d'armoiries. Toutefois les preuves d'une noblesse plus ancienne semblent faire défaut. Ce blason est visible sur le manoir des Rouairies, en Plumaugat. Potier de Courcy évoque un « piège de vénerie » au lieu du chiffre 4.