Écartelé : aux 1 et 4 de gueules à trois croissants d'or (Oryot) ; aux 2 et 3 de gueules à la croix d'argent (Aspremont).
Sources de la description : Nouvelle méthode raisonnée du blason, par le Père Menestrier (1780) qui met d'argent à la croix de gueules en correctif de cette version. Ex-libris de Jean-Baptiste Oryot d'Aspremont, chanoine-comte de Lyon. Courcelles (1821). François Charles Oryot aurait été autorisé à joindre à son nom celui de sa femme et à écarteler ses armes de celles de la maison d'Aspremont, par lettres du duc François, devenu empereur.