Devenue propriétaire de l'hôtel particulier de ses parents au 123 rue Saint-Dominique à Paris, elle le fait, en grande partie, reconstruire, à partir de 1893, par l'architecte Walter-André Destailleur qui édifie un véritable palais, surnommé la « Byzance du Septième » par Robert de Montesquiou, où se mêlent les styles les plus variés. Cet hôtel, "un des plus beaux palais de notre ville", selon l’écrivain Henri de Régnier, est vendu, le , à l’État roumain qui y transfère son ambassade.
Elle apporte une dot de 3 500 000 francs-or.