Pourvu de la charge de président au grand conseil en 1719, dont son frère étoit mort revêtu, mais ses affaires s'étant entièrement dérangées, aussi bien que sa tête, il fut obligé de se démettre en 1721, et François de Grassi, son oncle maternel, en fut pourvu sur sa démission par lettres du 15 mai 1722. Il se retira ensuite dans un appartement des chanoines réguliers de Sainte-Croix de La Bretonnerie où il mena le reste de ses jours une vie obscure dans une espèce d'imbécilité, et mourut le 5 octobre 1750 âgé de 65 ans, ayant eu une première fille de son mariage morte jeune, puis une seconde née pendant sa retraite qui suit, et que des substitutions considérables faites par son grand-père, regardent.