Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)
Lirault (Franavecois-Jean-Herv e de Lyrot) François-Jean-Hervé (1732-1793) – Seigneur de La Patouillere et de Lagibre, de la Jarry, de Montignier et de Saint-Jean de Montouillere et de La Gibraye, de La Jarrie, de Montigne et de Saint-Jean de Montfaucon), général vendéen (général) vendée). Il est né le 26 août 1732 à Nantes (Nantes, Loire-Atlantique) de François Lyrot, seigneur de La Patouillere (1687-1754) et de son épouse Marie de Lisle de la Nicolière, Dame de Lisle) (1696-1754), sous l’Ancien régime a servi dans l’armée royale, en 1790 il a été élu le premier maire de Saint-Sébastien-sur-Loire (Saint-Sébastien-sur-Loire) ), mais l’année suivante, il transfère les pouvoirs au patriote Sebastian Corgnet (1755-1812). En 1793, il rejoint les royalistes rebelles comme officier dans l’Armée catholique et royale d’Anjou du marquis de Bonchamps (Charles Melchior Artus, marquis de Bonchamps) (1760-1793), commandant les détachements des communes de Loroux-Bottereau ), Vertou, Vallet, Clisson et Aigrefeuille-sur-Maine (environ 3 000 hommes) et agit en alliance avec les troupes du chevalier de Charette de la Contrie. (1763-1796). À l’été 1793, il organisa des camps militaires au camp de La Louee et au camp de Saint-Julien, d’où, avec Charette, il occupa la rive gauche de la Loire devant le faubourg de Nantes Pont-Rousseau (<b114).2>Pont-Rousseau) et Saint-Jacques pour garder les républicains sous le feu de leur artillerie, tandis que l’armée catholique et royale doit attaquer la ville par le nord et l’est. Le 20 juin 1793, il défait les unités du général Beysser (Jean-Michel Beysser) (1753-1794), après quoi, à la tête de 10 000 Vendées avec 12 canons, il occupe La Croix-Moriceau, le 28 juin 1793, avec Charette, attaque et s’empare des postes de Saint-Jacques (Poste). de Saint-Jacques) et porte de Rennes (Poste du Porte de Rennes), participe le 29 juin à une tentative infructueuse d’attaquer Nantes, puis retire ses troupes à Ancenis. À l’automne 1793, avec Maurice-Joseph-Louis-Gigost d,Elbee (1752-1794) et Bonchamp, il agit avec succès contre les républicains du général Canclos (Jean-Baptiste-Camille). de Canclaux) (1740-1817) dans les batailles du 19 septembre 1793 à Torfou-Tiffauges et du 21 septembre 1793 à Montaigu, le 17 octobre 1793 à la bataille de Cholet couvre la retraite des Vendées et sauve les blessés d, Elbe et Bonchamp de captivité, après quoi il mène une guerre défensive dans le Bas-Poitou ). Le 19 décembre 1793, il est nommé second commandant de l’armée catholique et royale et membre du Conseil national des armes et des ventes ennes, le 23 décembre 1793, à la bataille de Savenay. ) mena une attaque réussie sur la forêt de Touchelet (Bois de Touchelais), captura 40 prisonniers et deux canons, mais fut repoussé par le général Kléber (1753-1800) aux portes de la ville, où il tenta de couvrir l’évacuation des blessés et fut tué à l’âge de 61 ans. Chevalier de Saint-Louis. Le 11 février 1760, il épousa Agathe-Marie Joubert, dame de La Jarrie (1745-1768), avec qui il eut trois enfants : Guillaume-François Lyrot de Montigne) (1761-1804), Marie-Alexandre Lyrot) (1766-1848) et Agathe-Marie-Marguerite Lyrot (1768-).
Faits d'armes | Bataille de Nantes Bataille de Cholet Virée de Galerne Bataille de Savenay |
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