Philibert Massaro

Famille

Notes

Massaro, Massard, Massard (de) : coupé au 1 : d’argent, à l'aigle éployée de sable, membrée, becquée et couronnée de gueules ; au 2 : de sable, au dard d’argent la pointe en bas

Arrêt du Parlement de Bretagne, établi à Rennes, enregistre, le 16 juin 1746, des lettres patentes de noblesse, du Roi Louis XV, où sont constatées les générations suivantes des Massaro, d'Altare.

I. Sébastien Massaro
II. Marc, ayant épousé, le 10 septembre 1627, Julie Perrotto
III. Sébastien, né le 26 novembre 1651, ayant épousé à Altare (quittance de dot du 4 août 1675) Madeleine
IV. François-Ambroise Massaro, né à Altare le 10 novembre 1644 ; étant allé s'établir en Bretagne et y ayant épousé Suzanne Guitton, le 30 juin 1695 ; ayant fait enregistrer (quittance du 1er avril 1697) ses armoiries en qualité d'écuyer et ayant obtenu, en août suivant, des lettres de naturalité, enregistrées à la Chambre des comples de Nantes-, le 22 janvier I698 ; ayant comparu, en 1701, en qualité de gentilhomme à la convocation du ban de la noblesse de Bretagne ; ayant passé revue devant le commandant du Régiment des gentilshommes de l'évêché de Nantes le 5 mai 1701 ; décédé le 15 mars 1723.
V. Jean-François Massaro, né le 12 septembre 1697, ayant épousé, le 20 décembre 1721, Dlle Marguerite du Cellier (fille de Nicolas-René). Il est qualifié Sieur de la Raimbaudière et de la Briais, et inscrit, sous cette dénomination, au rôle des nobles de la Bretagne qui ont assisté aux États de 1728, 1732, 1734; le premier de ces titres, on vient de le voir, est attribué aux Massaro, de la Fercé, ce qui indique au moins la parenté des uns et des autres. Un arrêt du Conseil d'État, rendu le 23 mars 1746, à Versailles, porte en sa faveur confirmation de noblesse ; cet arrêt fut suivi d'un arrêt du 16 avril, ordonnant l'enregistrement, rendu également à Versailles. - (Commissions Royales d'Art et d'Archéologie 1893)