Il ne craint pas d'écrire ses origines avec une certaine fierté au début de son journal, n'ayant aucunement à rougir de ses ancêtres. Il ne se doutait pas qu'un jour ses successeurs renieraient leurs origines et trafiqueraient même les premières pages de son manuscrit pour s'assurer une glorieuse ascendance.
Sa famille très dédaignée par les détracteurs des Valbelle, n'était pourtant pas parmi les plus miséreuse du Beausset dont ils étaient citoyens. Ils y possédaient des terres et les exploitaient.
Il se signala par son courage lors du siège de Marseille par le connétable de Bourbon; il écrivit des mémoires sur les évènements de son temps.
Barcillon de Mauvans (critique du nobiliaire de Provence) lui donne le sobiquet de "mousquetaire à jaloux". On appelait ainsi les apothicaires par plaisanterie. Son mortier portant le nom de Valbelle fut racheté plus tard par le président de Tourves qui le fit fondre pour effacer ce témoignage gênant.