Après avoir réorganisé en 1852 la musique municipale de la ville d'Eu, et fondé en 1857 une société philharmonique intitulée "La Cécilienne", Arthur s'est rendu compte qu'il lui manquait des instruments.
En 1861, il brevete le symphonium, obtenu par modification du mélophone.
En 1862 il crée le cécilium, dédié à Sainte-Cécile, patronne de la musique et consacre trente-cinq ans de sa vie à cet instrument. L'instrument a la forme d'un violoncelle et se compose d'un clavier et d'un soufflet.