François du Parc

écuyer
Blason de la famille du Parc
Vaincre ou mourir
Tout est beau
  • Né en 1549
  • Décédé vers 1630, à l'âge d'environ 80 ans

Parents

Famille

Occupations

  • receveur des ports et havres de Morlaix
  • jurat de la communauté morlaisienne

Lien

Notes

La cour du parlement de Bretagne, par un arrêt du 12 novembre 1614, ordonnait l'enregistrement des lettres-patentes ci-dessus en faveur de François Le Bervet et de ses enfants Jean, Yves, Dominique et Constance.
A la suite de cet arrêt, on peut lire dans les registres du parlement l'acte suivant :
"Lettres-patentes données par le Roi, Louis XIII, en faveur de François Le Bervet, seigneur de Toulalan, demeurant en son manoir de Manachty en la commune de Plufur, par lesquelles il est autorisé à reprendre le nom de "du Parc" quitté par Tristan du Parc, fils de Philippe du Parc, seigneur du Parc, par son mariage, en 1405, avec Claudine Le Bervet."
Mais à la fin de cet acte se trouve l'expression : "Sauff en aultres choses notre droict et l'autruy en toutes."
Cette réserve fut la cause initiale d'un long procès que les Le Bervet du Parc durent soutenir pendant plus d'un quart de siècle, jusqu'en 1640.

Après opposition de certains membres de la famille du Parc et procès, un arrêt de la cour du parlement de Paris, rendu le 12 mai 1640, permit à Yves Le Bervet, fils de François, de prendre le nom et les armes de la maison du Parc-Locmaria ; Vincent du Parc, marquis de Locmaria, chef de nom et d'armes, et son premier cadet, le seigneur de Brélidy, déclarant reconnaître pour bonnes et valables ses généalogies produites par Yves Le Bervet. (Woelmont)