Bien que reconnu comme descendant d'une famille d'extraction, il se fait donner de nouvelles lettres de noblesses le 27 octobre 1601 et aurait repris les armes de la famille Godignon (ascendants maternels). Toutefois Viton de Saint-Allais donne dans son nobiliaire universel de France, une autre explication, selon laquelle ces armes viendraient de l'ancienne famille Crescenzi dont les Oryot prétendaient descendre (voir Nicolas Oryot).
Porte de gueule à trois croissants montants d'or, 2 et 1. (Longeaux, Dumast)