Jean Jacques Antoine de Chambarlhac

Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)

Jacques-Antoine Chambarlhac de Laubespin Jacques-Antoine (1754-1826) - Baron de l’Empire (30 juin 1811), général de division (28 juillet 1803). Né le 3 août 1754 à Estables, en Haute-Loire, il entre en service militaire en 1769 comme soldat du régiment d’infanterie auvergnat (régiment d’Auvergne), le 21 juin 1792 - sous-lieutenant, le 1er mai 1793 - chef de bataillon, commandant du 4e bataillon de grenadiers de l’armée alpine (Arme des Alpes) ), le 28 mai 1794, il est chef de brigade et commandant de la 117e demi-brigade de ligne (117e demi-brigade de ligne). À partir de 1796, il sert dans l’armée italienne (Armée d’Italie), commande la 75e semi-brigade de ligne (75 e demi-brigade de ligne), le 15 novembre 1796, il est grièvement blessé à la bataille d’Arcole et sur le champ de bataille est promu par le général Bonaparte (Napoléon Bonaparte). ) aux généraux de brigade (confirmés dans leur grade le 6 décembre 1796), 18 janvier 1797 commandant de Brescia, 26 février 1797 commandant de brigade de la 4e division d’infanterie du général Sérurier (Jean-Mathieu-Philibert Serurier), 14 juin 1797 commandant de la 14e brigade de la 8e division d’infanterie du général Victor (Claude-Perrin Victor) ). Le 12 janvier 1798, il est transféré à l’armée anglaise (Armée d’Angleterre), puis retourne dans l’armée italienne et en mars 1799 dirige une brigade de la 8e division d’infanterie, est blessé près de Vérone, après quoi il retourne à Paris (Paris) pour rétablir sa santé. Le 23 décembre 1799, il est affecté au 17e district militaire, le 28 janvier 1800 il est transféré à l’Armée de l’Ouest et participe activement à la lutte contre les rebelles : dans son appel à l’administration d’Alenson (Alenson) on lit : « Citoyens administrateurs, après 5 jours de chasse aux voleurs, je les ai attrapés hier, combattus et transformés en fuite. Mes chroniques continuent de se poursuivre. Le commandant en chef du département m’a confié la tâche de le débarrasser du shuang. J’ai l’intention de ne pas leur donner une goutte de repos, mes soldats se battront jusqu’à ce qu’ils nettoient vos terres des voleurs. Je compte sur votre conscience civique – aidez mes opérations, laissez les besoins du soldat devenir votre devoir honorable. » Avec le général Gidal (Emmanuel-Maximilien-Joseph Guidal), il participe principalement à la prise du général vendéen Frotte (Marie-Pierre-Louis de Frotte) et de ses adjudants, arrêtés traîtreusement lors des négociations de paix le 15 février 1800. - 9 mars 1800 – Commandant du 1er Divisions de l’Armée de réserve, 4 juillet 1800 - Commandant de Tortone, 19 novembre 1800 - Commandant de Mayence (Mayence), Commandant du Département du Mont-Tonnerre (Mont-Tonnerre). Le 12 avril 1802, il est commandant du département de la Loire et le 26 août 1802, il est commandant de la 1re subdivision du 13e district militaire. - Général de division le 28 juillet 1803, commandant du 24e district militaire (Bruxelles) le 17 septembre 1805, commandant de la 3e division de l’armée du Nord le 8 août 1809, commandant du 24e district militaire à partir du 27 mars 1810, commandant de Cambrai ). Pendant la Première Restauration, il resta sans nomination officielle à partir du 9 juin 1814, pendant les « 100 Jours », il rejoignit l’Empereur et le 17 mai 1815 fut nommé commandant du 18e district militaire, après la Seconde Restauration, il prit sa retraite le 18 octobre 1815. Il meurt le 3 février 1826 à Paris à l’âge de 71 ans. Commandeur de la Légion d’honneur (14 juin 1804), chevalier de Saint-Louis (20 août 1814).