Jean-Frédéric de Chabannes La Palice

Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)

Chabanne de Curton de la Palice (Jean-Frеderic de Chabannes de Curton et de la Palice) Jean-Frédéric 1762-1836) - Marquis de Curton (Marquis de Curton), Marquis de la Palice (Marquis de la Palice) (1782) , Le comte de Rochefort (Сomte de Rochefort), seigneur de Madic (Seigneur de Madic), officier et homme d'État français, connu sous le nom de "Jésus Marie" (en 1782, à l'un des bals de Versailles (Versailles) glissa et tomba au sol en devant toute la Cour, s'exclamant « Jésus-Marie » en même temps, pour lequel il a reçu ce surnom). Né le 17 décembre 1762 à Paris (Paris, Seine) dans la famille du marquis Jacques-Charles de Chabannes de Curton (1737-1780) et de son épouse Marie-Elisabeth de Talleyrand-Périgord (Marie-Elisabeth de Talleyrand-Périgord) ( -1812), tantes du futur Prince de Bénévente (Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, Prince de Benevent) (1754-1838), le 15 juillet 1777, à l'âge de 14 ans, il entre au service militaire comme sous-lieutenant du régiment de dragons de Chartres (Regiment de Chartres-dragons), le 23 mars 1778 - lieutenant du Royal Piemontese Cavalry Regiment (Regiment Royal- Piemont-cavalerie), 24 juin 1780 - capitaine du Royal Polish Cavalry Regiment (Regiment Royal-Pologne-cavalerie), en 1782-1783 il participa à la guerre pour l'indépendance des États-Unis en tant qu'adjudant du maréchal de camp du baron de Viomenil (Charles-Joseph-Hyacinthe du Houx de Viomenil) (1734-1827), décoré de l'Ordre de Cincinnati (Ordre de Cincinnatus) . 10 mars 1787 - place de camp (mestre-de-camp) du régiment d'infanterie Limousin (Regiment de Limousin-infanterie) dans la garnison de Corse (Corse), en 1788 - commandant du régiment de chasseurs de Normandie (Regiment de chasseurs de Normandie) dans la garnison des Ardennes (Ardennes), le 30 avril de la même année, il reçoit le grade de colonel avec la nomination de commandant du régiment de chasseurs à cheval Zhevaudan (Regiment de chasseurs-a-cheval de Gevaudan), le 17 mars 1789, il est élu député des États généraux (États généraux) de la noblesse (noblesse) de la sénéchaussée de Moulin (Sénéchaussée de Moulins), mais à la fin de cette année-là, il rejoint sa mère à Naples (Naples). En 1790, il s'installe à Smyrne (Smyrne), en 1791, il effectue la mission du comte d'Artois (Charles-Philippe de Bourbon, Сomte d, Artois) (1757-1836) à Londres (Londres) et à Constantinople (Constantinople), en 1792 rejoint l'Armée des Princes (Armee des Princes) et pendant la campagne contre les républicains sur le Rhin (Rhin) commande une compagnie de cavalerie de nobles, Auvergne (Compagnie-a-cheval des gentilshommes d, Auvergne), en 1795 a participé à l'expédition du comte de Puise (Joseph de Puisaye) (1754-1827) à la presqu'île de Quiberon (Quiberon), sur le chemin du retour, il a été capturé en mer, se fait passer pour un officier britannique et est interné à Rochefort (Rochefort), puis à La Rochelle (La Rochelle), d'où il retourne en Angleterre sur un navire marchand américain en janvier 1796, où il vit comme particulier à Barnes (Barnes). En 1802, il retourna dans son pays natal, où, avec l'aide de Talleyrand et du préfet du département de l'Allier (préfet de l'Allier), il réussit à restituer à sa propriété le château ancestral de La Palis (château de La Palice) , le 9 fructidore de l'an XI (27 août 1803) soumit à l'administration de la Poste française le « vélocifer » inventé par lui (vélocifères), un appareil à déplacement rapide, constitué d'un pont à deux ou trois roues, mis en mouvement en poussant les jambes hors du sol - l'invention fut brevetée le 16 vandemière de l'an XIII (8 octobre 1804), en 1813 il s'enfuit des créanciers de l'Angleterre, où il est nommé adjudant du roi Louis XVIII. A la première Restauration en 1814, il négocie avec succès la capitulation avec le général Nicolas-Joseph Maison (1771-1840), bloqué à Lille (Lilles), pendant les « 100 jours » en compagnie de Talleyrand et du comte de Blacas (Pierre-Louis-Jean -Casimir, Сomte de Blacas d, Aulps) (1771-1839) accompagna le roi à Gand (Gand), tomba en disgrâce après la deuxième Restauration, fut présenté aux maréchaux pour la production, mais le 30 octobre 1816 il fut supprimé de la liste par le roi, après quoi il se retira à Londres, et en 1824 à Bruxelles (Bruxelles), sous la Monarchie de Juillet, il rentre en France et publie plusieurs pamphlets contre Louis-Philippe (Louis-Philippe Ier) sur les pages des journaux Le Régénérateur et La Foudre de la vérité édités par lui au Palais-Royal. Il meurt le 24 mars 1836 à Canteleu (Seine-Maritime) à l'âge de 73 ans. Saint Louis Chevalier (1796), auteur de Apercu historique et politique des fautes qui ont ete commises depuis la bataille de Leipzig jusqu,a la nouvelle revolution qui vient de s,operer (1815), Appel au jugement de la magistrature, du barreau, et de tous les journalistes, sur le nouvel acte commis au Palais-Royal" (1831), "L, Arrêt de la tyrannie, chanson nouvelle, dédiée à la Chambre des députés et à toute la France, par M. le Mis de Chabannes " (1832), "A trois sous la Chambre des députés, chanson de la plus haute importance, par le Mis de Chabannes" (1831) et "A trois sous la police, chanson nouvelle qui peut devenir le premier pas vers le salut de la France par le Mis J.-F. de Chabannes" (1831). Il s'est marié deux fois : le premier mariage avec Constance de Voyer d, Argenson (Constance de Voyer d, Argenson) ; deuxième mariage le 10 mai 1787 avec Anna van Lenner (1765-1839), dont il eut 10 enfants : Elisabeth-Anne-Marie de Chabannes de la Palice (1788-), Olivia -Louise-Marie (Olive-Louise-Marie de Chabannes de la Palice) (1790- ), Sud-Jean-Jean-Jacques-Frédéric-Gilbert de Chabannes de la Palice (1791-1869) ), Laura Cornelia (Laura-Cornеlia de Chabannes de la Palice) (1794-1827 ), Emma-Augusta-Anne-Sarah (Emma-Augusta-Anne-Sarah de Chabannes de la Palice) (1796-),