Présente avec ses confrères orfèvres et nobles de Saint-Mihiel (Mathieu de la Réaulté, Jean de Saint-Remy et Jean Bon) une requête à Monseigneur de Vaudémont le 11 Décembre 1556 afin de lui rappeler que leur activité ne constitue pas un motif de dérogeance, suivant un décret du duc Antoine du 22 octobre 1532, permettant "Que les orfèvres du lieu de St Mihiel, s'ils soient nobles & extraits de gentillesse, puissent, & leur soit possible d'oeuvrer & besogner de leur art & métier d'orfèvrerie, & en boutique ouverte, si bon leur semble, sans perdre leurs privilèges de noblesse; ains en jouissent, & soient francs & exempts de toutes tailles, aides, subsides & autres impositions quelconques, comme font autres nobles du pais , nonobstant qu'ils besognent & usent publiquement de leur métier qui n'est vil "