Famille maintenue noble en 1823. On peut toutefois douter qu'elle ait été plus anciennement noble. D'après Révérend et Potier de Courcy, elle aurait été déboutée en 1668.
Armoirie : d’argent au chiffre 4 (ou piège de vénerie) de gueules, accompagné en pointe de deux croissants affrontés de même - Armoirie visible sur le manoir des Rouairies, en Plumaugat.
NOUVEAU D'HOZIER. Francoeur-Fresnoye. - BnF Ms Fr 31369 (Nouveau d'Hozier 144), vue 230
Cotes : BB/29/1078, page 214 M. Defredot Duplantys. Maintenue et confirmation de noblesse.
Armoiries : d'argent au chiffre 4 de gueules, accosté de deux croissants affrontés du même vers le bas de l'écu.
Cotes : BB/29/980, pages 116 et 117 Confirmation de noblesse de Louis, Auguste Defredot Duplantys, écuyer, à la suite de l'ordonnance du 6 mai 1823. Paris ( 25 juillet 1823).
État civil du bénéficiaire : né le 5 novembre 1783 à Sainte-Colombe (Ille-et-Vilaine). Armoiries : d'argent, au chiffre 4 de gueules accosté de deux croissants du même vers le bas de l'écu. L'écu timbré d'un casque taré de profil, orné de ses lambrequins.
Jean de Fredot aurait été originaire d'Auvergne, et pendant les troubles de la ligue, le compagnon d'armes du marquis de Sourdéac, gentilhomme breton. Il se serait fixé en Bretagne après son mariage avec Olive de Launay.