• Né le 29 août 1758 à Hanvec
  • Décédé le 26 mars 1832 à Paris, à l'âge de 73 ans

Parents

Famille

Occupations

  • officier de marine- Vice Amiral en 1816

Notes

Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)

Corentin-Urbain de Leissegues de Legerville (1758-1832) était un vice-amiral Français (1816) et cousin du contre-amiral Cosmao-Kerjulien. Né le 29 août 1758 à Hanvec (Finistère) dans la famille du juriste Louis-Alexandre de Leissegues de Legerville (1733- ) et de son épouse Françoise Le Calvez (1735- ), en 1778 à l’âge de 20 ans il entre au service de la Royal Navy avec une nomination à la frégate « L,Oiseau », sert dans la Manche, puis, à bord de la frégate La Nimphe, elle participe à la prise du Sénégal, de la Gambie et de la Sierra Leone. En 1780 - Lieutenant, commandant de la frégate « La Magicienne », à partir de 1781 il participe à la célèbre campagne de 40 mois de l’amiral Suffren (Pierre-André de Bailli de Suffren) dans l’océan Indien, participe à six batailles navales contre la flotte anglaise de l’amiral Hughes (Sir Edward Hughes), est grièvement blessé à la tête, en 1785 navigue en mer du Nord à bord de la frégate « La Vigilante », de 1787 à 1791, il participe à une nouvelle campagne dans l’océan Indien à bord de la frégate La Meduse, puis est transféré au brick La Furet et sert au large des côtes de Terre-Neuve. Au début de 1793, il est promu capitaine du 1er grade et dirige l’escadre navale chargée de transporter aux îles du Vent trois commissaires de la Convention nationale et un bataillon d’infanterie de ligne, le 16 novembre 1793 - contre-amiral, en 1799 rentre en France et est nommé inspecteur général des côtes de Saint-Malo (Saint-Malo) et de Flessingue (Flessingue), puis commandant des ports d’Ostende (Ostende), Flussingen et Anvers (Anvers), ainsi que les forces navales Français à Batavia, se sont rassemblées dans les ports et les baies de Walcheren. En 1802, au nom du Premier Consul, Napoléon Bonaparte négocia avec succès avec les pirates barbaresques et apporta à Paris des cadeaux du Dey d’Alger et du Sultan de Tunis, la même année transporta à Constantinople l’envoyé extraordinaire à la cour du sultan Selim III, le général Brune (Guillaume-Marie-Anne Brune), et remit les consuls Français aux ports du Levant (Levant) - Chypre (Chypre), Rhodes, Chio et Salonique. Il se rendit ensuite à Alexandrie pour voir à l’évacuation complète des troupes britanniques, et de là à l’île de Malte, où il enregistra une violation des termes de la paix d’Amiens par les Britanniques. Après la reprise des hostilités, il dirige une escadre dans la flotte de Brest (Arme navale de Brest) de l’amiral Gantom (Honoré-Joseph-Antoine Ganteaume), au début de 1806 il commande une escadre envoyée avec des renforts (900 soldats et munitions) sur l’île de Santo Domingue (Saint-Domingue). Le 6 février 1806, Leyszegu découvrit l’escadre britannique (9 navires de ligne et 4 frégates) du vice-amiral Duckworth sur l’île et, malgré la prépondérance des forces (il avait 5 navires de ligne, 2 frégates et une corvette à sa disposition), ordonna d’attaquer l’ennemi - dans une bataille féroce, au cours de laquelle l’amiral fut blessé, les Français furent vaincus, perdant 1 510 marins tués, trois navires capturés et deux coulés. Après son retour en France pendant trois ans, il est resté sans nomination officielle, le 7 avril 1809, il a été nommé responsable de la défense de Venise (Venise) contre les attaques de la mer et de la terre, en 1811 - un comaLes forces navales Français, italiennes et napolitaines en mer Ionienne sont restées sur l’île de Corfou jusqu’à sa reddition en 1814. À la Première Restauration, il retourna à Toulon, fut promu vice-amiral en 1816 et prit sa retraite 18 mois plus tard. Il meurt le 26 mars 1832 à Paris, à l’âge de 73 ans. Commandeur de la Légion d’honneur (14 juin 1804), commandant de Saint-Louis (1814).