Portrait de Philibert-François Rouxel de Blanchelande (1735 - 1793)

Philibert-François Rouxel de Blanchelande

Blason de la famille Rouxel
  • Né le 21 février 1735 à Dijon
  • Exécuté le 15 avril 1793 à Paris, à l'âge de 58 ans

Parents

Occupations

Notes

Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)

Blanchelad (Philibert-François Rouxel de Blanchelande) Philibert-François (1735-1793) – Vicomte de Blanchelande, maréchal de camp (maréchal de camp) (9 mars 1788) et administrateur colonial, petit-fils du maréchal de France comte Jacques-Eleanor Rouxel de Blanchelande (comte de Grancey et baron de Medavy) (1655-1725). Il est né le 21 février 1735 à Dijon (Dijon, Sote d,Or) dans la famille du lieutenant-colonel du Régiment de la Chennelay-infanterie, Claude Rouxel de Blanchelande (1670-1740) et de son épouse Catherine-Françoise Bracinnier, à partir du 2 juin 1781 il a servi comme gouverneur par intérim de Trinidad, en 1784 il a pris un poste dans le gouvernement des îles Sous-Le-Vent( 9 mars 1788 - Le maréchal de camp, le 9 novembre 1790, remplace le comte de Paynier (Louis-Antoine de Thomassin de Peinier, comte de Peynier) (1731-1809) comme gouverneur général de Saint-Domingue, ainsi que comme inspecteur général des troupes, de l’artillerie, de la milice et des fortifications des îles Français d’Amérique (inspecteur général des troupes, artilleries, milices et fortifications des Iles francaises de l, Amerique). Il est connu pour le massacre brutal de 23 mulâtres capturés dirigés par le lieutenant Chavannes (Jean-Baptiste Chavannes) (1748-1791) et Vincent Oge (1750-1791), qui ont débarqué sur l’île le 23 octobre 1790 pour soulever un soulèvement, mais le 20 novembre ont été capturés à Hinche par les troupes espagnoles et remis au gouverneur Français Blanchelad - le 6 février 1791, toutes les personnes arrêtées ont été soumises à des rouages sur la place de la cathédrale de Port-au-Prince; par des mesures cruelles éteignit le feu du mécontentement parmi les esclaves, provoquant ainsi le soulèvement de Dutty Boukman (Dutty Boukman) (-1791), qui éclata le 22 août 1791 après la célèbre cérémonie dans la forêt de Bois-Caïman (Bois-Caïman) ; mène les combats contre les esclaves rebelles, mais après la mort du colonel Mauduit (Thomas-Antoine de Mauduit du Plessis) (1753-1791) le 4 mars 1792, il est contraint de fuir à Cap-Français, après quoi le pouvoir sur l’île passe à l’Assemblée coloniale. Dans une lettre adressée au ministre de la Marine et des Colonies, Antoine-François de Bertrand de Molleville (1744-1818) rapporte les « terribles malheurs qui s’abattent sur Cap » et demande une aide immédiate, il est démis de ses fonctions de gouverneur général par les commissaires spéciaux Sonthax (1763-1818) et Polverel (Etienne de Polverel) (1740-1795), remplacé par le lieutenant-général Jean-Jacques-Pierre d, Esparbes de Lussan (1720-1810) et expulsé de l’île. À son retour à Paris, il est « condamné pour avoir autorisé des détentions arbitraires et des déportations à Saint-Domingue et pour avoir soutenu des membres du parti contre-révolutionnaire des colonies portant un pompon blanc en signe de cohésion » (convaincu d,avoir autorise des deaths et des deportations arbitraires a Saint-Domingue et d,avoir favorise le parti contre-révolutionnaireionnaire des colonies portant pour signe de ralliement un pompon blanc). 22 Germinals de la première année (11 avril 1793), malgré sa publication Discours justificatif de Philibert-François Rouxel Blanchelande, ancien gouverneur des Iles françaises sous le vent de l’Amerique » fut condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire et sur 26 germinals de la première année (15 avril 1793) guillotiné avec son fils Jean-Louis (Jean-Louis Rouxel de Blanchelande) (1773-1794) à l’âge de 58 ans. Il est l’auteur des Mémoires de M. de Blanchelande, sur son administration à Saint-Domingue (1791). Le portrait du vicomte a été exécuté en 1791 par le peintre François Malepart de Beaucourt (1740-1794).