Portrait de Michel François de Murat-Sistrières (1765 - 1825)

Michel François de Murat-Sistrières

Michel François dit Amaranthe
vicomte de Murato
1er baron de Murat-Sistrières (1813 - )
  • Né le 3 juillet 1765 à Vic-sur-Cère
  • Décédé le 2 septembre 1825 dans cette ville, à l'âge de 60 ans

Parents

Famille

Occupations

Distinctions

  • officier de l'ordre de la Légion d'honneur

Notes

Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)

Michel-François (dit Amaranthe de Murat-Sistrieres) Michel-François (1765-1825) – Baron de Sistrieres et de l,Empire (3 septembre 1813), Vicomte de Murat-Sistrieres, général de brigade (2 septembre 1813). Né le 3 juillet 1765 à Vic-sur-CereDans le Cantal, le 15 août 1778, à l’âge de 13 ans, il entre dans l’armée comme apprenti artillerie (El eve d,artillerie), le 5 avril 1780 transféré dans l’infanterie avec promotion sous-lieutenant, le 21 octobre 1785 lieutenant de la Légion de Malbois (Légion de Maillebois) ), se retira avec le déclenchement de la Révolution et le 3 août 1789, sous le nom d’Amaranthe, rejoignit la Garde nationale de Vic-sur-Cérès. Le 15 septembre 1791, il est nommé lieutenant du 12e régiment d’infanterie de l’armée du Nord, le 20 mai 1792, il est promu adjudant-major principaldu 3e bataillon de grenadiers Le 31 mai 1792, il est élu lieutenant-colonel de la Légion du Centre. 4 Messidors de la première année (22 juin 1793) – Chef de brigade, commandant du 20e régiment de chasseurs à cheval del’armée des Ardennes du général Lamarche (François-Joseph Drouot, dit Lamarche) (1733-1814), 4 Vendémières II - 25 septembre 1793 blessé dans une escarmouche de cavalerie à Jamoigne (province de LuxembourgBelgique) et le même jour suspendu du service pour cause d’origine aristocratique, le 12 Brumaire II (2 novembre 1793) est promu par les représentants du peuple Enz ( Nicolas Hentz (1753-1829), Masieu (Jean-Baptiste Massieu) (1743-1818) et Jean-Baptiste Bo (1743-1814) aux généraux de division et remplacent le général Jacob-Job Eliedit le Brave) (1746-1825) comme commandant militaire de GivetArdennes, 6e Freemer de la DEUXIÈME année (26 novembre 1793) - commandant de la 2e division de l’armée ardennaise, 18 pluviose de la IIe année (6 février 1794) remet le commandement au général Charbonnier ( Louis Charbonnier) (1754-1833), mais ne reçut pas de nouvelle nomination et retourna dans son pays natal en mars 1794, où il fut assesseur du tribunal d’instance du canton (Assesseur du juge de paix du canton), 5 Messidors V Il prit sa retraite le 23 juin 1797 avec le grade de chef de brigade. Le 1er décembre 1806, il retourne au service actif comme soldat dans le Corps des Gendarmes d’Ordonnance gendarmes de la Maison de L’Empereur, le 11 janvier 1807 - Sergent (maréchal-des-l’Empereur), le 11 janvier 1807 - Sergent (maréchal-des- logis), participe à la campagne de 1807 dans le cadre de la division du général Tollier (Pietro Teulie) (1763-1807), sous le commandement du capitaine Mathieu-Paul-Louis de Montmorency-Laval) (1748-1809) est à la prise de Stettin et Neugarten, dans les batailles contre les Prussiens à TreptowGreifenberg et Degowle 29 mars 1807, avec un corps de gendarmes, rejoint la Grande Armée Armee) à Marienwerder, combattit du 5 au 6 juin 1807 à Guttstadt, le 29 mai à Heilsberg et le 2 juin 1807 à Friedland. Le 10 novembre 1807, il est promu au grade de chef d’escadron avec une nomination au 4e régiment de cuirassiers du colonel Erbaut (4 e régiment de cuirassiers) (1760-1808), et participe à la campagne d’Autriche de 1809 dans le cadre de la 1re brigade du général Reynaud (4e et 6e régiments de cuirassiers) ) (1771-1828) de la 3e division du général Arrighi di Casanova (Jean-Toussaint Arrighi di Casanova) (1778-1853) de la cavalerie de réserve du maréchal Bessière (Jean-Baptiste Bessieres) (1768-1813) de l’armée allemande (Armée d’Allemagne), sous le commandement du colonel prince Borghèse-Aldobrandini (François-Gajetan-Dominique-Philippe Borghèse-Aldobrandini) (1776-1834) combattit les 21 et 22 mai à Aspern-Essling, où il reçut plusieurs coups de sabre et perdit deux chevaux tués sous lui, et le 6 juillet à Wagram, où il fut blessé par balles dans la tête et la cuisse droite, le 8 août 1809 - Colonel, commandant du 4e régiment de cuirassiers. 7 septembre 1811 - Commandant du 9e régiment de cuirassiers, participe à la campagne de Russie de 1812 au sein de la 3e brigade (9e régiment de cuirassiers et 1er régiment de Chevolegers) du général Kono (Mathieu Queunot) (1766-1845) de la 1re division de cuirassiers du général Saint-Germain (Antoine-Louis) de Saint-Germaine) (1761-1835) du Ier corps de cavalerie de réserve du général Nansouty (Etienne-Marie-Antoine-Champion de Nansouty) ) (1768-1815), combattit à Ostrovno, Borodino, où il reçut une blessure à la baïonnette à la cuisse gauche et à Vinkovo. Pendant la campagne de Saxe de 1813, au sein de la 2e brigade (9e, 11e et 12e régiments de cuirassiers) du général Jean-Charles Quinette de Cernay (1776-1822) de la 1re division de cuirassiers du général baron Bordeso de Pommero (Etienne Tardif) de Pommeroux, Avecomte Bordessoulle (1771-1837) du Ier corps de cavalerie du général Latour-Maubourg (Victor-Nicolas de La Tour-Maubourgde Fay) (1768-1850) combattit le 2 mai 1813 à Lutzen et les 20 et 21 mai 1813 à Bautzen, le 27 août 1813 à la bataille de Dresde, il fut grièvement blessé par un boulet de canon qui tua son cheval et lui écrasa la cuisse droite (sa jambe devait être amputée), prit sa retraite le 2 septembre 1813 avec une promotion au grade de général de brigade et, de 1814 à 1818, occupa ses fonctions. Président du Conseil général du Cantal. Il meurt le 2 septembre 1825 à Vic-sur-Serre, à l’âge de 60 ans. Chevalier de la Légion d’honneur (13 août 1809), officier de la Légion d’honneur (11 octobre 1812)a), commandeur de la Légion d’honneur (3 octobre 1813), chevalier de Saint-Louis (13 février 1815), chevalier de l’ordre du Lys (28 octobre 1815). De 10 pluvioses de la septième année (29 janvier 1799), il épousa Elisabeth-Catherine Coffinhal (1773- ), avec qui il eut un fils Jean-Baptiste-Eugène de Murat-Sistrières (1801-1880). Le portrait de l’officier a été exécuté par le peintre Louis-L é opold Boilly (1761-1845).