Portrait de Louis Dubois-Descours (1763 - 1827)

Philippe du Bois des Cours

Antoine François Philippe

Louis Dubois-Descours

chevalier
3e marquis de La Maisonfort (1784 - 1827)
Blason de la famille du Bois des Cours
  • Né le 23 juin 1763 à Bitry
  • Décédé le 2 octobre 1827 à Lyon, à l'âge de 64 ans

Parents

Famille

Occupations

Distinctions

  • commandeur de l'ordre de Saint-Louis (1823)
  • chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur (1825)
  • ordre de Saint-Vladimir (1814)

Notes

Le portrait a été peint pour monsieur de Mauduit, ce qui explique que le blason de cette famille y soit peint.

Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)

Dubois-Decours de La Maisonfort (Antoine-François-Philippe, dit Louis Dubois-Descours de La Maisonfort) Antoine-François-Philippe, dit Louis (1763-1827) - Marquis de La Maisonfort (Marquis de La Maisonfort), maréchal (maréchal-de-camp) (13 mars 1815) et homme de lettres. Né le 23 juin 1763 à Bitry (Bitry, Nièvre) dans la famille d'un officier de marine, le marquis François-Alexandre-Philippe Dubois-Decours de La Maisonfort (François-Alexandre-Philippe Dubois-Descours, marquis de la Maisonfort, seigneur d, Argenou et de Ciez) (1738-1784) et son épouse Marie-Gabrielle-Charlotte-Anne de Kergadiou (1739-1828), entrent très jeunes dans le service militaire et au début de la Révolution sont sous-lieutenant du Gramont Compagnie (Compagnie de Gramont) des Gardes du corps du roi (Royal Bodyguards), en mai 1791, il émigre de France et rejoint l'année suivante l'Armée des princes, participe à la campagne de 1792, combat le 20 septembre à Valmy, et après la dissolution de l'armée le 24 novembre 1792, se retira à Braunschweig), où il ouvrit en 1796 avec Fauche-Borel (1762-1829) une imprimerie imprimant des pamphlets royalistes. En avril 1799, il se rendit en Russie, où il proposa au roi Louis XVIII et à l'empereur Paul Ier un projet de coup d'État contre-révolutionnaire, dans lequel le rôle principal devait être joué par le président du Directoire de Barras (Paul-Jean-François- Nicolas, vicomte de Barras) (1755-1829) - le projet fut approuvé, mais non mis en œuvre en raison du coup d'État du 18 brumaire an 8 (9 novembre 1799). En mai 1800, il rejoint le comte d'Artois (Charles-Philippe de Bourbon, comte d'Artois) (1757-1836) à Londres (Londres) (1757-1836) et l'année suivante, au nom de ce dernier, secrètement se rendit en France, où en mars 1802 il fut arrêté, incarcéré à la prison du Temple (Prison du Temple) et déporté sur l'île d'Elbe (Elba). Le 6 février 1803, il réussit à s'échapper et se cacha en Italie jusqu'au printemps 1804, date à laquelle il s'installa à Constantinople (Constantinople), où il fut reçu par le sultan Selim III (Selim III) (1761-1808), le 26 octobre. , 1804 il arrive de nouveau en Russie et rejoint la mission du Comte de Blacas (Pierre-Louis-Jean-Casimir, Сomte de Blacas d, Aulps) (1771-1839), de novembre 1806 à mars 1807 il effectue des missions diplomatiques à Vienne (Vienne), en octobre 1812, il fut délégué en Suède pour des négociations avec le prince Bernadotte (Jean-Baptiste-Jules Bernadotte) (1763-1844), arriva à Londres le 18 décembre 1812 et jusqu'à la Restauration resta à la cour de Louis XVIII à Hartwell (Hartwell , Buckinghamshire). Le 15 avril 1814, il rentre en France, le 24 août 1814 - Conseiller d'État (Conseiller d'État), le 13 mars 1815 - Le feld-maréchal, pendant les « 100 jours » accompagne le roi à Gand (Gand), le 22 août 1815 - membre Chambre des Députés du Département du Nord (Nord), le 5 septembre 1816 démissionne et le 19 juillet 1820 nommé Ministre Plénipotentiaire (Ministre plenipotentiaire) à la Cour de Toscane (Toscane) et de Lucca (Lucques) à Florence (Florence), en 1821, il rentre en France. décédé le 2 octobre 1827 à Lyon (Lyon, Rhône) à l'âge de 64 ans, Il est inhumé au cimetière de Loyasse (Cimetiere de Loyasse). Chevalier de la Légion d'honneur (23 mai 1825), Chevalier de Saint Louis (10 février 1798), Commandeur de Saint Louis (20 août 1823), titulaire de l'Ordre russe de Saint Vladimir, 2e degré ( 1er mai 1813) et l'Ordre toscan de Saint-Joseph, auteur des pamphlets politiques "L, Etat reel de la France a la fin de 1795" (1796) et "Tableau politique de l, Europe depuis la bataille de Leipzig" (1814), le roman "L, Heritière polonaise" (année 1811), ainsi que les comédies "Le Duc de Monmouth" (1796), "Le valet philosophe" (1805), "Les Trois Tantes" (1807), "Les Projets de divorce" (1809), "Le curé de Pinges" (1814), "Cassandre somnambule" et "Le Portefeuille ou les deux bouquets".