Lorsque son père devint presqu'aveugle ,Marguerite se passionna pour les lectures à haute voix d'oeuvres d'histoire et géographie. Elle l'aida peut-être pour écrire sous sa dictée.
Elle était la seule à assister aux expérience de son oncle Léopold Ollier qui lui dictait ses observations sur les dissections de volailles.
Assez indépendante pour l'époque elle fit de nombreux voyages dans la région de Marseille et des Alpes de Provence, des séries de cartes postales anciennes le confirment.
Ses récits devenaient des épopées à la fin de ses jours qu'elle passa chez sa nièce Thérèse Jarrosson Casati.
En effet déja assez agée , elle se retrouva seule après la mort de ses 3 soeurs. C'est en écoutant la lecture du journal de sa cousine Alix Bonvalot Ollier qu'elle découvrit avec émotion la profondeur de l'amité que lui portait sa cousine
sources : mémoires de Thérèse Jarrosson Casati