Documents relatifs à son procès : https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_058983/cotesdunord_KER4/FRAN_0451_058067_L(163 vues)
Il fut reconnu comme émigré alors qu'il n'a jamais quitté le territoire national. Son entrée dans la clandestinité l'a empêché de se présenter aux autorités pour être retiré de la liste des émigrés.
Blessé par un coup de feu au genou gauche à Pluneret pendant la période révolutionnaire, son infirmité lui aurait évité la déportation.