Portrait de Charles Marie Benjamin d'Hautpoul (1772 - )

Charles Marie Benjamin d'Hautpoul

Blason de la famille d'Hautpoul
  • Né en 1772

Parents

Famille

Occupations

Distinctions

  • chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem
  • commandeur de l'ordre de la Légion d'honneur

Lien

Notes

Source : MICHAIL ODINZOV наполеон и революция (impereur.blogspot.com)

D, Hautpoul (Charles-Marie-Benjamin d, Hautpoul) Charles-Marie-Benjamin (1772-1853) - Comte d, Hautpoul (Comte d, Hautpoul), Chevalier de l'Ordre de Malte (Сhevalier de Malte) (3 mai 1777), maréchal honoraire (maréchal-de-camp honorifique) (31 janvier 1818). Né le 4 septembre 1772 à Toulouse (Toulouse, Haute-Garonne) dans la famille du marquis Joseph-Marie d, Hautepoul (Joseph-Marie d, Hautpoul, marquis d, Hautpoul, seigneur d, Auxillon, baron de Mazamet de Pays Hautpoulois ) (1723 -1782) et son épouse Marie-Anne d, Hautpoul (Marie-Anne d, Hautpoul, Dame de Blanchefort, Niort et Roquefeuil, Demoiselle de Rennes) (1733-1781), le 11 février 1789, à l'âge de 16, rejoint la Compagnie des cadets gentilshommes de l'Ecole militaire de Paris, le 12 février 1792 - sous-lieutenant de l'Ecole du génie de Mézières, 4 vantoses de la 1ère année (22 février 1793) promus lieutenant et détaché à l'armée du Nord, 3 messidors de la 1ère année (21 juin 1793) - capitaine, reçut une balle dans la tête pendant le siège de Valenciennes ( Valenciennes ), après quoi il retourna à Paris, où par décret du Comité de salut public ( Comité de salut public ) il fut démis de ses fonctions d '«aristocrate» (noble). Il vit à Sens (Sens, Yonne) loin de la vie publique, mais lorsqu'une rébellion fédéraliste éclate dans un village voisin, il s'engage dans la Garde nationale, participe à la répression de la rébellion et reçoit deux balles dans l'une des batailles contre les rebelles - dans sa main gauche et dans la cuisse gauche avec des lésions osseuses, Le 3 an messidor II (21 juin 1794) reprend le service actif avec la nomination de commandant du génie de l'armée de Cherbourg (Armée des côtes de Cherbourg). En 1798, il est détaché à l'Armée de l'Orient et participe à l'expédition d'Egypte, se distingue le 14 messidor de l'an VI (2 juillet 1798) lors de la prise d'Alexandrie (Alexandrie) et le le 1er germinal de la VIIe année (21 mars 1799) lors de la prise de Belbeis (Belbeis), où il fut le premier à s'introduire à la tête d'une compagnie de grenadiers, 5e fructidor de la 7e année (22 août 1799) - le chef de bataillon, 11e floréal de l'an 8 (1er mai 1800) - le chef de brigade, combattu à Rahmanie et Damanhour, le 30 ventôse de l'an IX (21 mars 1801) perdit un cheval tué sous lui dans la bataille de Canope, Le 15 thermidor an IX (3 août 1801), il rentre en France avec le général Belliard (Auguste-Daniel Belliard) (1769-1832). 9 pluviosis de l'année XI (29 janvier 1803) - directeur des fortifications (Directeur des fortifications), la même année il est nommé commandant des ingénieurs du Corps d'observation du Royaume de Naples (Сorps d, observation du royaume de Naples) du général Saint-Cyr (Laurent Gouvion de Saint-Cyr) (1764-1830), participa aux campagnes de 1805-1806 en Lombardie (Lombardie), puis revint à Naples, où il resta à la disposition du roi Joseph (Joseph Bonaparte) (1768-1844), puis le roi Murat (Joachim Murat) (1767-1815), le 17 octobre 1808, se distingua lors de l'assaut de l'île de Capri (Capri), où il commanda les ingénieurs de la troupes du général Lamarck (Jean-Maximilien Lamarque) (1770-1832), pour lequel il fut noté dans le rapport du commandant des unités du génie de l'armée de Naples (Armée du Naples), le général Campredon (Jacques-David-Martin de Campredon) (1761-1837) et le 13 février 1809 il fut nommé adjudant du roi Murat. Le 30 mars 1810, il est rappelé en France avec la nomination et la direction du génie de Grenoble (Direction du génie à Grenoble), le 1er septembre 1811 - directeur du génie de Genève (Genève), le 6 novembre 1811 - membre de la Fortification Comité (Comité des fortifications), en 1814 commanda les ingénieurs de la 1ère division de l'armée de Lyon (Armée de Lyon) Le maréchal Augereau (Pierre-François-Charles Augereau) (1757-1816), participa aux opérations militaires en Savoie (Savoie ) et les environs de Grenoble (Grenoble). Le 26 janvier 1816, il prend sa retraite et le 31 janvier 1818, il reçoit le grade de maréchal honoraire. Il meurt en 1853 à Paris à l'âge de 80 ans. chevalier de la Légion d'honneur (11 décembre 1803), officier de la Légion d'honneur (14 juin 1804), commandeur de la Légion d'honneur (13 février 1809), chevalier de Saint Louis (29 juillet 1814), Commandeur de l'Ordre des Deux-Siciles (Ordre Royal des Deux-Siciles (2 février 1806). Le 17 février 1809, il épouse Anne-Marie Gaultier de Coutange (1763-1837).Le portrait d'un officier a été peint par le peintre Louis - Léopold Boilly ( 1761-1845 ) .