Étienne d'Hastrel de Rivedoux

En 1770, avec sa mère, il rentre en France et le 11 septembre 1781 entre à l’École militaire de Paris, d’où le 8 mai 1784, à l’âge de 18 ans, il est libéré en service actif comme sous-lieutenant du régiment d’infanterie d’Artois, le 1er janvier 1791 - lieutenant du 48e régiment d’infanterie (48e régiment) d,infanterie), anciennement Artois, 13 avril 1792 – capitaine, sous le commandement du colonel Paul-Louis Dargiot de la Ferrière (1745-1817) participe aux campagnes de 1792-1793 dans les rangs de l’armée du Rhin ), a combattu contre les Prussiens du 29e Vantoz de la première année (19 mars 1793) à Stromberg et du 7e Germinal de la première année (27 mars 1793) à Bingen, du 21e Germinal de la première année (10 avril 1793) au 5e Thermidor de la première année (23 juillet 1793) sous le commandement du général Aubert-Dubaille (Jean-Baptiste-Annibal) Aubert-Dubayet) (1757-1797) participa à la défense de Mayence (Mayence), le 28 Germinal II (17 avril 1794) fut nommé assistant (ajoint) de l’adjudant-général (adjudant-général) de Fririon (François-Nicolas Fririon) (1766-1840) au quartier général de l’armée du Rhin-Moselle (Armee de Rhin-et-Moselle), 2 prairials de la IVe année (21 mai 1796) - Assistant d’Ajudan-Général Simon (Edouard-François Simon) (1769-1827) au quartier général de l’Armée de l’Ouest (Armee de l, Ouest), transféré en 1797 au Cabinet de Topographie et d’Histoire (Cabinet de TheOry) topographique et historique). 9 prairial de la cinquième année (28 mai 1797) - chef de bataillon, 29 vendémières de la VII année (20 octobre 1798) détaché au quartier général de l’armée de Mayence (Armee de Mayence), 17 pluvioses de la VII année (5 février 1799) - chef de brigade, adjudan-général de l’état-major de l’armée alpine (Arme des Alpes), 9 germinals VIII (30 mars 1800) affecté au Dépôt militaire (Dépôt de la Guerre) pour organiser un état-major de colonels d’état-major (adjudants-commandants), transféré en août 1801 au quartier général de l’Armée d’observation du Sud (Armee d’observation du Midi) avec quartier général à Milan, à partir du 1 Vendémière XI (23 septembre 1802) servit au siège du 5e arrondissement militaire (Strasbourg), et à partir de septembre 1803 - dans les camps militaires de Bayonne (Camp de Bayonne) et brest (Camp de Brest). Le 24 Fructidor XIII (11 septembre 1805), il est mis à la disposition du chef d’état-major de la Grande Armée, le général Antoine-François. Andreossy) (1761-1828), a pris part à la campagne d’Autriche de 1805, à la campagne de Prusse de 1806 et à la campagne de Pologne de 1807, le 26 janvier 1807 - général de brigade. Le 20 août 1809, il est nommé chef d’état-major du corps du maréchal Bernadotte (Jean-Baptiste-Jules Bernadotte) (1763-1844) à Anvers, le 24 avril 1810 - commandant du district de Bois-le-Duc (arrondissement de Bois-le-Duc, Bouches-du- Rhin), 11 mai 1810 – Chef d’état-major du Corps d’observation néerlandais (Corps d’observation en Hollande) du général Udino (Nicolas-Charles Oudinot) (1767-1847), 25 décembre 1810 – Commandant militaire de Hambourg (Hambourg) et chef d’état-major du Corps d’observation de l’Elbe du maréchal Louis-Nicolas Davout) (1770-1823), à partir du 26 février 1811, il agit temporairement comme chef d’état-major de l’armée allemande (Armée d’Allemagne), le 25 mars 1811, il est promu général de division et à partir du 13 mars 1812 occupe le poste de directeur général du service militaire (Directeur général de la conscription militaire). Lors de la Première Restauration, il est nommé commandant du département des Vosges le 1er octobre 1814, pendant les « 100 Jours », il est convoqué par l’Empereur à Paris le 15 avril 1815 et le 8 mai dirige un département du ministère de la Guerre, après la Seconde Restauration, il est relevé de ses fonctions le 17 octobre 1815 et le 9 décembre de la même année il est envoyé à Strasbourg ( Strasbourg, Bas-Rhin) comme lieutenant du roi de 1re classe, 14 août 1816 – Inspecteur général d’infanterie ), pris sa retraite en 1824. Après la Révolution de Juillet, il s’engage dans la Réserve d’état-major, prend finalement sa retraite le 11 juin 1832 et s’installe à Neuwiller (Neuwiller-lès-Saverne, Bas-Rhin). En 1834, il s’installe à Versailles, dans les Yvelines, où il meurt le 19 septembre 1846 à l’âge de 80 ans, et est enterré au cimetière de Notre-Dame. Chevalier de la Légion d’honneur (5 février 1804), officier de la Légion d’honneur (14 juin 1804), commandeur de la Légion d’honneur (14 juin 1810), haut officier de la Légion d’honneur (8 mai 1835), chevalier de Saint-Louis (19 juillet 1814), chevalier de l’ordre autrichien de la Couronne de fer (Osterreichischen Ordens der Eisernen Krone), ordre bavarois de Saint-Hubert (Orden des Heiligen) Hubertus) et l’Ordre espagnol de Saint-Ferdinand (Ordre de Saint-Ferdinand d’Espagne), la Haute Croix de l’Ordre militaire saxon de Saint-Henri (Militar-Sankt-Heinrichs-Orden) et l’Ordre de Bade de Bade Fidelity (Ordre dynastique de la Fidelite de Bade). SeraitIl s’est marié deux fois : marié en première fois en 1796 à sa cousine Marie-Jos ephe d, Hastrel de Rivedoux ; il épousa en secondes noces en 1801 Marie-Louise-Joséphine Zaepffel, avec qui il eut un fils Etienne-Adolphe (Etienne-Adolphe d,Hastrel de Rivedoux) (1805-1874).