Portrait de de Mondoret (1774 - 1858)

René Le Pourceau

Jean-Baptiste René

de Mondoret

chevalier
chef de nom et d'armes
Blason de la famille Le Pourceau
  • Né le 8 avril 1774 à Guérande
  • Décédé le 29 juin 1858 dans cette ville, à l'âge de 84 ans

Parents

Famille

Occupations

  • colonel de cuirassiers

Notes

Jean-Baptiste-René Le Pourceau de Mondoret Jean-Baptiste-René (1774-1858) – Chevalier Le Pourceau deMondoret, colonel de cavalerie (23 mai 1825). Il est né le 8 avril 1774 au château de LauvergnacGuerande, Loire-Atlantique, fils du capitaine d’artillerie, le comte Jean-René Le Pourceau de Mondoret. ) (1746-1785) et son épouse Françoise-Charlotte-Julie de La Bourdannaye Boishulin (1744-1795), ont fait leurs études au collège de Juilly (Seine-et-Marne) ), en 1791, à l’âge de 17 ans, il émigre de France, mais l’année suivante retourne en Bretagne (Bretagne) et rejoint la cavalerie de l’armée centrale de la coalition bretonne ), en 1793, il participe à la campagne de Virée de Galerne, après la défaite de Savenay le 23 décembre 1793, s’enfuit en Angleterre et entre au service britannique comme adjudant du régiment de Dresnay-infanterie, formé à Jersey. des officiers de marine Français et des nobles bretons, le maréchal de camp, le marquis du Dresnay (Louis-Marie-Ambroise-René, marquis du Dresnay) (1741-1798), fin juin 1795 sous le commandement du prince de Rohan-Chabot (Louis-Antoine-Auguste de Rohan-Chabot) (1733-1807) participe à l’expédition des comtes de Puisaye (1755-1827) et d’Ervilly (Louis-Charles-Charlesd,Hervilly) (1755-1795) à la péninsule de Quiberon. En 1797, il retourne en Bretagne, rejoint les Chouans et participe aux combats contre les républicains, combat à PontchateauLa Roche-BernardGuérande et Redon, en 1800 produit par Georges avecadoudal ( 1769-1804) au grade de colonel avec la nomination de commandant militaire du département d’Ille-et-Vilaine, en 1800 - Chef d’état-major de la 4e Légion de l’Armée du Morbián (4e Légion de lArmee < /b1107>) par le colonel , le 25 janvier 1800, il se distingue au combat contre les troupes du général ), en février 1801, il fut capturé avec son protecteur et resta emprisonné pendant 14 mois à . Après sa libération, il vécut au Château de Louvergnac sous la supervision de la ), à la première Restauration il retourna au service militaire comme sous-lieutenant de la avec le grade de lieutenant-colonel, en 1815 - chef de l’escadron du 1er régiment de grenadiers à cheval de la Garde Royale (1), en 1824 - Lieutenant-colonel de la Garde, servit dans la garnison de , à ), en 1829 commandant de la 3e Légion de gendarmerie château de Lauvergnac, à l’âge de 84 ans. Chevalier de la Légion d’honneur (1820), officier de la Légion d’honneur (30 octobre 1827), chevalier de Saint-Louis (1814), chevalier de l’ordre de la ). Le 29 octobre 1810, il épousa (1791-1892), avec qui il eut une fille ) (1812-1891). Le portrait de l’officier a été exécuté en 1825 par un auteur inconnu.