Charles de Hallot poursuit devant le Parlement de Paris la mère (Françoise de Picquet) de son fils naturel (Simon de Hallot) car elle a organisé, le 5 juin 1677, un simulacre de mariage avec un usurpateur d'identité (Antoine Nicolas) ayant signé sous le nom de Hallot. Françoise de Picquet et Antoine Nicolas sont emprisonnés, l'homme soumis à la question ordinaire et extraordinaire. Le Parlement demande, le 19 mars 1681, la suppression de l'acte, condamne Antoine Nicolas à neuf ans de galéres et Françoise de Picquet à neuf ans de bannissement (peine commuée en réclusion dans un monastére). De son côté Charles de Hallot est condamné à verser 300 lives de pension par an à son fils Simon de Hallot.