Poète, il a traduit plusieurs odes d'Horace en bas-breton. Le caractère de ce littérateur nous promettait quelque-chose d'aimable et d'enjoué; mais il n'a paru de lui que deux chansons, l'une sur la Vieillesse et l'autre sur le Lit à Part, imprimées dans la Muse bretonne pour l'an 1810, deuxième année. On connait aussi en basse Bretagne sa chanson du maréchal ferrant.
Sa mère mourut en couche à sa naissance
Son prénom d'usage était peut-être Jean car il signe toujours Testard. J. , mais au mariage de son fils Mathurin il est dit s'appeler Paul, ainsi que sur l'acte de naissance de son petit fils Paul en 1765.
Capitaine de la paroisse de Plougastel lors du décès de sa première épouse en 1750.
capitaine garde côte au mariage de son fils mathurin en 1767