Saint-Cyrien. Lieutenant de cavalerie démissionnaire il développe des affaires familiales au Maroc dès le début du protectorat français. Mobilisé en 1914 il sert sur le front comme capitaine commandant une compagnie de mitrailleuses, jusqu'en 1917, puis au Maroc comme capitaine commandant un escadron de Spahis engagé dans des opérations de pacification (1917-1920).
Chef d'escadrons de cavalerie de réserve. Propriétaire d'une écurie de chevaux de course.