Arrivé à Brest en 1745.
Mort noyé accidentellement dans la rivière de Morlaix. Le caractère accidentel peut poser question car Pierre Barjou, commis aux cuirs, métier très impopulaire, s'était probablement rendu à Morlaix pour y contrôler les nombreuses tanneries. Ces établissements se situaient souvent en bordure des rivières car on y trempait les cuirs. Il n'est pas impossible qu'il ait été noyé volontairement dans la rivière de Morlaix à la suite d'un de ses passages.
Le rôle de capitation de Landerneau de 1753 indique que le sieur Barjou habite trêve de Saint-Julien, rue de Ploudiry, et qu'il exerce la profession de marchand de vins. Il est imposable de 12 livres et emploie une servante.
Les commis aux cuirs étaient chargés du contrôle de la fiscalité des cuirs produits par les tanneries. Très impopulaires il furent par la suite supprimés.